Golden Age

Des fois, des trous se mettent sur nos chemins, sans qu’on en conaisse la moindre signification. Ils vous aspirent et vous renvois dans une autre situation, parfois bien, parfois mal. Cela serait-ce le fruit de la volonté des Tous-puissant ? Des forces supérieures qui nous gouvernent et qui nous apportent nos forces sans que nous le sachions ?

Varg naquit un jour, dans la saison ou la neige couvre le toit des maisons et ou le bois brûle dans la cheminée. Son père était le libraire du village. Il voulait reprendre la librairie que son père possédait une fois celui-ci décédé. Mais ce père que Varg aimait tant avait des dettes, oui il avait un vice : le jeu. Varg hérita de la boutique en tant que seul enfant de la famille, mais il hérita aussi des dettes. Il fut obligé de vendre la boutique pour combler les dettes, cependant il avait prit les livres qui traitaient d’un sujet qui l’intéressé au plus au point ; l’invocation d’élémentaire. Il fut alors obligé d’aider les artisans de la ville à récolter les différentes peaux et diamants nécessaire pour leurs artisanats. Et, voulant d’un allié qui ne demanderait pas d’argent il essaya d’amener les composants nécessaires aux élémentaires de feu. Et à son plus grand étonnement il y arriva ! Quelle ne fut pas sa surprise quand l’élémentaire de sa voix profonde et froide, oui sa voix dénuée de tout sentiment, tranchante comme la lame d’un chef gnoll et puissante comme un coup de marteau d’ogre ! Il remercia finalement les puissances lointaines de l’avoir accablé de ces dettes, de cette misère. Oui car, cette misère lui a permit d’entrevoir la puissance qu’il pouvait désormais atteindre. Il vivait alors correctement grâce à ce nouveau compagnon si puissant lorsqu’un jour en ville il trouva une affiche. Cela parlait d’une guilde, d’un chef, d’une cause …

Il arriva à peine devant la ville de cette guilde, il jeta alors la carte qu’un certain gnome troubadour lui avait donnée pour la trouver. Quand soudain un cor sonna et une voix apparemment humaine s’écria « Les atlantes sont devant la mine !».