Le temps passa, et durant un nuit d’une longueur sans fin le jeune wolfen resta à même le sol dans une sorte de coma. Puis, il ouvrit enfin les yeux, le soleil qui perça à travers ses paupières le fit atrocement souffrir. Assis contre un armes dans la clairière silencieuse, les souvenir revenait peut a peu. Sa défaite et l’exclusion qui en suivi, un grand sentiment de solitude le tiraillait au plus profond de son être.
Il se leva , commença à errer dans la forêt qui se présentait à lui. Perdu, ne connaissant rien de la survit, le moment à venir semblait le mener irrémédiablement vers la mort. Un bruit sourd résonna alors à ses oreilles, en suivant se son étrange et en s’en rapprochant il le distingua plus nettement. Un peut plus loin devait couler une rivière, le son de l’eau l’attirai.
Après quelques minutes, qui lui semblèrent des heures, il parvint afin sur les rives claire de la rivière qui filait au cœur de la forêt. Assoiffé, il se jeta dans l’eau s’abreuvant comme un être n’ayant bu depuis des mois. L’eau qui pénétrait son corps lui redonnait peu a peu vie, il sentait ses forces resurgir d’un néant ou il les croyait perdu a jamais. Rassasier, il leva les yeux pour voir ce qu’il y avait au alentour.
Sur l’autre rive, là, en face, le jeune wolfen recula un peu à la vue de l’être qui lui faisait face. Une créature étrange, elle ne paraissait pas méchante bien au contraire, après l’avoir observer quelque temps l’esprit du loup s’apaisait. Cette être d’un verre semblables à celui des arbres qui l’entouraient, il se confondait totalement avec la verte nature dans laquelle il vivait. Le wolfen s’avança d’un pas mal assuré vers cette être qu’il ne connaissait pas, il aurait même été incapable de dire ce que c’était. Sur l’autre rive la créature parla enfin :
« -Tu me sembla perdu dit l’être de la forêt d’un voix d’une douceur sans comparaison. Pourquoi est-tu seul ici ?
- b…ba….ba, Tel-jilad semblait avoir perdu la voix, et dans un effort surhumain (au plutôt surWolfen) il parvint à dire : Bannis !
- Bannis, mais qu’a tu fait de mal ? demanda l’être des bois en s’approchant du loup. »
Le loup recula en voyant l’être étrange s’approcher de lui puis en rassemblant tous ses efforts lui raconta son histoire. Sa défaite dans le duel de passage et se que cela entraînait, son errance dans les bois et enfin sa rencontre. L’être des bois souri et se rapprocha du wolfen.
« - Je suis une dryade, dit celle-ci de sa voix douce. Je trouve ton histoire tellement triste. Ecoute moi, de l’autre coté de ses bois tu trouveras une terre nouvelle prête à t’accueillir, une terre ou certains des tiens vivent en harmonie avec les miens, une terre ou tous cette barbarie deviendras un souvenir. »
La dryades disparue dans les bois laissant le jeune wolfen seul, il regarda un instant l’endroit au quelques secondes plutôt l’être des bois c’était trouvé puis décida de suivre son conseil. Le chemin sera sûrement long, mais il en fallait la peine.
To be continued…
_________________ Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme, Ce beau matin d'été si doux : Au détour d'un sentier une charogne infâme Sur un lit semé de cailloux ...
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